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Saint-Jacques à la Bretonne

Coquille Saint Jacques à la bretonne.

Ingrédients
8 à 12 coquilles Saint-Jacques
30 g d’échalotes
60 g de beurre
5 gousses d’ail
Un peu de mie de pain et de la chapelure
Persil et cerfeuil
Une râpure de muscade
Sel et poivre du moulin

Préparation
Eplucher et hacher les échalotes, le persil et le cerfeuil ;
les faire fondre dans une casserole avec 30 g de beurre pendant 5 à 6 minutes
puis ajouter l’ail haché.
Couper les noix en deux ou en trois les ajouter dans la casserole,
laisser cuire le tout doucement pendant 5 minutes ;
ajouter les corails ainsi qu’un peu de mie de pain pour épaissir
laisser cuire encore pendant 2-3 minutes.
Retirer du four et garnir les coquilles creuses ;
saupoudrer avec un peu de chapelure ; répartir le restant du beurre en parcelles ;
faire gratiner dans un four chaud et servir aussitôt.

Guide pratique
Achat : Une coquille fraîche doit être hermétiquement close.
Si elle bâille, elle ne doit pas résister à la pression.
Une coquille peut vivre 3 à 4 jours au frais sans risque.

Ouverture : Contrairement à l’huître, la Saint-Jacques est plus facile à ouvrir.
Elle présente une petite ouverture sur un côté où on fait glisser un couteau.

Rinçage : A l’eau courante sans les laisser tremper (sinon, elles perdraient leur saveur).
Vous pouvez vinaigrer légèrement les premières eaux de rinçage

La choucroute de la mer

La choucroute de la mer.
La choucroute de la mer.

Pour 4 personnes
Préparation : 5mn
Cuisson : de 15 à 45 mn

Ingrédients

1.3 kg de chou cru,
8 noix de saint jacques,
4 petits filets de merlan,
4 morceaux de lotte,
400g de filet de lieu noir,
4 filets de rouget barbet,
400g de beurre blanc surgelé,
quelques brins de ciboulette,
1 carotte,
10cl de fumet de poisson du commerce,
10cl de vin blanc sec,
sel,
poivre.

Préparation

Dans une grande cocotte, porter à ébullition le fumet et le vin blanc.
A feu doux, ajouter le chou puis la carotte pelée et taillée en filaments.

Couvrir et chauffer 20 minutes.
Ajouter la lotte, laisser cuire 2 minutes, puis les autres poissons et
les noix de saint-jacques.
couvrir et laisser cuire 4 minutes. Rajouter du liquide si nécessaire.
Saler et poivrer Réchauffer le beurre blanc au bain-marie ou au micro-ondes.
Dans les assiettes, déposer les différents poissons, les noix de saint jacques puis le chou.
Napper d’un peu de sauce. Servir le reste en saucière. Décorer de ciboulette.
Servir éventuellement de pomme vapeur. Accompagner d’un muscadet…

Astuce

Après avoir préparé le poisson, se laver les mains avec du gros sels ou du jus de citron.

Bar grillé à la bretonne

Bar grillé.

Un peu cher mais simple
Pour 6 personnes :
Préparation : 30 mn.
Cuisson : 45 mn.

Ingrédients

1 bar de 1,2 kg prêt à cuire
2 c. à soupe d’huile d’arachide
sel de mer
poivre

Pour accompagner

1 kg de pomme de terre
3 gros artichauts
1 citron
60 g de beurre
10 brins de ciboulette
sel, poivre

Préparation

Allumez le four à thermostat 6 (180°C).
Préparez les légumes :
pelez les pommes de terre, rincez lès et coupez lès en fines lamelles.
Arrachez les queues des artichauts.
Coupez les feuilles au ras des cœurs en éliminant les plus dures sur l’arrière de l’artichaut.
Coupez chaque fond en deux, retirez le foin, rincez lès, coupez lès en fines lamelles
et plongez lès au fur et à mesure dans de l’eau additionnée du jus de citron.
Beurrez un plat à four, mettez y une couche de pommes de terre
puis une couche de lamelles d’artichauts égouttez.
Salez et poivrez entre les couches, finissez par une couche de pommes de terre.
Parsemez du beurre restant en copeaux, mettez à cuire au four 25 mn.
Retirez du four et réservez au chaud. Allumez le gril du four.
Huilez, salez et poivrez le bar.
Posez le sur une grille posée sur la lèche frite, glissez sous le gril et
laissez cuire 8 à 10 mn. de chaque côté.
Servez accompagné des légumes et décorez des brins de ciboulette.

Exemple de garniture

La recette de la galette

Les ingrédients
Exemples de garnitures pour les galettes

– MA PREFERE :
1 tranche de jambon, des tomates, 1 œuf, du gruyère râpée, beurre salé, sel et poivre.

– LA COMPLETE :
1 tranche de jambon, 1 œuf, 1 grosse pincée de gruyère râpé, beurre demi-sel et du poivre.

– LA CAMPAGNARDE :
2 cuillerées de champignons sautés, 1 tranche fine de poitrine fumée, 2 fines rondelles de tomate crue, 1 pincée de gruyère râpé, beurre demi-sel.

– OEUF/FROMAGE :
1 œuf, 1 grosse pincée de gruyère râpé, beurre demi-sel, sel poivre.

– LA BIGOUDENNE :
1 demi pomme coupée en tranches fines, 2 rondelles d’andouille de Guéméné, beurre demi-sel, sel poivre, crème fraîche.

UNE VARIANTE DE LA RECETTE DE LA GALETTE :
INGREDIENT :
300 gr de farine, 1 cuillère à soupe de gros sel, 1 cuillère à café de miel, 1 œuf.

A LA SAUCISSE
1 galette de blé noir, saucisse au couteau, beurre demi-sel, poivre.
Il est préférable pour cette recette de faire plusieurs saucisses à la fois.
Verser ½ cm d’eau dans une poêle. Ajouter les saucisses.
Couvrir et faire cuire sur feu doux jusqu’à ce que l’eau se sot résorbée.
Découvrir, augmenter le feu et faire dorer les saucisses en secouant la poêle.
Ensuite, les ouvrir en deux dans la longueur.
Les réchauffer avant d’en garnir les galettes.
Chauffer une noisette de beurre demi-sel dans la galétoire.
Y déposer une galette. Laisser chauffer une minute, la retourner, la beurrer largement.
Poser au centre une saucisse chaude ouverte en deux. Laisser cuire vingt secondes, puis ramener les bords de la galette vers le centre en recouvrant la saucisse (on obtient un carré).
Poivrer le dessus et servir.

Crêpes au chocolat

Les ingrédients
-250 gr de farine
-1 cuillère à soupe de sucre semoule
-2 sachets de sucre vanillé
-1 pincée de sel
-3 gros oeufs
-3 cuillères à soupe d’huile de tournesol ou du beurre
-25 cl de lait
-1 verre de bière
-1 cuillère à soupe de rhum ou de fleurs d’oranger selon les goûts.

La préparation
Dans un grand saladier mélangez 250 grammes de farine
avec 1 cuillère à soupe de sucre semoule,
2 sachets de sucre vanillé et 1 pincée de sel et ménager un puits au centre.
Versez doucement 1/4 litre de lait à température de la pièce.
Battez vigoureusement 3 gros oeufs entiers dans un bol.
Une fois la pâte homogène, incorporez les vigoureusement,
puis 3 cuillères à soupe d’huile de tournesol, ou mieux de beurre fondu.
Allongez à volonté, avec 1/4 l de lait tout au plus.
Laissez reposer 1 heure, puis ajoutez un petit verre de bière et
éventuellement une cuillère à soupe de rhum ou de fleurs d’oranger.

La cuisson
Si vous craignez qu’elles attachent, incorporez une cuillère à soupe d’huile
de plus à la pâte et graisser légèrement la poêle.
Le plus simple est d’utiliser une poêle anti-adhésive neuve.
Ne retournez pas les crêpes, faites les sauter.
La première crêpe finira sur l’armoire comme le veut la coutume…
La crêpe se déguste chaude et juste faite.
A défaut posez la pile dans une large assiette plate déposée
sur une casserole d’eau frémissante,
couvrez d’une feuille d’aluminium.

Au moment de servir
poser la crêpe dans une assiette, ajouter 4 gros carrés de chocolat,
moitié chocolat noir pour la pâtisserie (60 % de cacao minimum)
et moitié chocolat au lait pour adoucir.
Plier la crêpe en deux et passer la au four à micro ondes,
une à deux minutes selon la puissance de votre four et au maximum.
Je vous conseille de couvrir l’assiette avec une autre assiette
pour éviter à la crêpe de se dessécher.
Vous pouvez également la napper ensuite de chocolat fondu,
d’un coulis de fruits ou de crème chantilly.

Pâte à crêpe à la farine de châtaigne

Les ingrédients
-90 gr de farine de châtaigne
-90 gr de farine fluide
-3 œufs
-50 gr de sucre
-50 gr de beurre fondu
-50 cl de lait
-1/2 sachet de levure chimique
Préparation pour environ 12crêpes
Mélangez les deux farines, la levure, le sucre, dans un saladier.
Creusez un puits, cassez-y les œufs entiers.
Mélangez énergiquement à l’aide d’un fouet,
et versez le beurre petit à petit.
Délayez la préparation peu à peu avec le lait chaud.
Et laissez reposer environ 30 minutes.

Le circuit du bourg à Bubry

Cette balade aux alentours du bourg de Bubry vous offrira une vision intéressante
des paysages ruraux et agricoles de la Bretagne intérieur.
Parcourant milieux ouverts, zones humides, landes, chemins creux et forestiers,
vous apprécierez le patrimoine bâti de la commune.

De Lorient,
prenez la N 165 vers Vannes, puis la N 24 vers Rennes.
Suivez la N 24 jusqu’à la sortie Baud centre.
Sur la route Baud-Pontivy à 8 km de Baud, prenez la sortie Bieuzy-les -Eaux.
Traversez Saint-Nicolas-des-Eaux et poursuivez jusqu’à Bieuzy-les Eaux.
Le Rando Plume, ou vous trouverez la fiche descriptive de la balade,
est situé au presbytère, près de l’église.

Le point de départ de la balade est situé, à la salle polyvalente de Bubry.
Pour y aller du Rando Plume, rendez-vous à Melrand et suivez la D 2 (Pontivy-Plouay)
en direction de Bubry sur 6 km.

Distance : 16 km temps : 4h30

Balisage bleu – Circuit accessible à VTT

Du bourg de Bubry, qui viendrait du breton « bod-bri« , ce qui signifie « bois sur une éminence« , vous rejoignez au-delà de la route de Sainte-Hélène un beau chemin en sous bois débouchant sur la route d’accès de Brétinio. Le chemin de terre longe ensuite le bief
du moulin de Brétinio
  jusqu’à la route.
Arrivés à l’ancien village de Lanquénnec ,
le sentier s’élargit progressivement en un chemin bordé de murets de pierres, il vous même à Guerjean.
Vous suivez ensuite un chemin à travers les landes jusqu’à Trévengard ,
où un four à pain fait place au cœur du village.
Plus loin, après la chapelle Saint-Trémeuret  sa fontaine du XVIIIe siècle, vous arrivez au village de brûlé  où, plus à l’est sur le ruisseau, un moulin et sa minoterie sont toujours en activité.
Vous êtes dans la vallée de Brandifout.
Après avoir franchi le pont de pierre de Pont-Davy, vous poursuivez vers Locqueltas  et sa chapelle Notre-Dame-de-la-Salette du XVIIe siècle puis vers Goh-Canquis  .
Vous empruntez ensuite le chemin dit « des marchands »
qui vous conduit à Guérizec-Coëtano .
Plus loin, après un petit détour à la chapelle Saint-Hervé
vous traversez le hameau de Nihio puis celui de Kermmoran,
avant de revenir au bourg de Bubry.

cette documentation est fourni par :

ABRI
4, rue Ronsard
35000 Rennes
Tél : 02.99.26.13.50
Fax : 02.99.26.13.54
E-mail : infos@abri.asso.fr

Histoire de la Bretagne d’antan

Cette page a pour but d’essayer simplement de vous montrez comment était la Bretagne d’antan.

Les cinq départements bretons

Quand la France s’appelait la Gaule,
le promontoire bien délimité qui la prolonge à l’extrême ouest
portait le nom d’Armorique (Pays sur la Mer)
et groupait cinq « cités »: celle des Redones (capitale Rennes),
celle des Namnètes(Nantes),
celle des Vénètes (Vannes), celle des Ossismes (Carhaix)
et celle des Curiosolites (Corseul.)
Au IXè siècle, l’Armorique, appelée maintenant Bretagne,
remporta assez de victoires sur le royaume
germanique des Francs pour y gagner son indépendance qu’elle conserva,
immuable jusqu’au XV siècle.
Le mariage de sa souveraine, Claude,
avec le roi François 1er entraîna son rattachement à la France.
Elle y devint une simple province, mais ses limites demeurèrent inchangées
La Révolution la divisa, à l’intérieur de ces limites, en cinq départements :
Le pays des Redones devint L’Ille-et-Vilaine,
celui des Namnètes Loire -Inférieure,
celui des Ossismes Finistère, des curiosolites Côtes-du-Nord
et le Vannetais Morbihan.
C’est seulement le gouvernement collaborateur de vichy qui procéda en 1941,
avec la permission d’Hitler,
à un redécoupage du territoire français ne tenant aucun compte
des traditions millénaires.
Sa région Bretagne ne comportait que L’Ille et- Vilaine, le Morbihan,
le Finistère et les Côtes-du-Nord (aujourd’hui Côtes d’Armor),
La Loire-Inférieure (devenue Loire-Atlantique)
où il a été parlé breton jusqu’au début du siècle,
était reléguée dans une pseudo région des Pays de Loire
comprenant la Sarthe et la Mayenne que les réformateurs
croyaient sans doute arrosées par la Loire.
Sous la Vè République, les nostalgiques du Vichysme sont arrivés
à faire conserver ce curieux découpage,
mais les ‘Bretons ne l’acceptent pas,
60% des habitants de Loire-Atlantique y sont opposés et,
à plusieurs reprises, des manifestations pour la réunification de la Bretagne
ont réuni 7 à 8.000 personnes.

Derrière la maîtresse de maison se trouve, le lit clos,
elle assis sur un banc-coffre prépare le repas dans un chaudron.

Dans cette ferme, la chambre avec les lits clos.
On peut remarquer aussi derrière le lit clos la petite chapelle de la vierge.

Extrêmement bien décoré et on comprend bien mieux l’influence de la religion
dans la Bretagne du début du XXe siècle.

Les lits clos et les autels.

Forts répandus dans les fermes de basse-Bretagne, au début du XXe siècle,
ces lits clos sont des éléments les plus caractéristiques du mobilier.
Leur rôle est de préserver du froid,
et d’assurer un peu d’intimité à tout un chacun ( et bien sur aux couples ).
Un banc-coffre placé devant permet d’accéder à ce lit clos,
dont la décoration varie d’un pays à l’autre.
Ceux du pays bigouden, du Léon, et du pays pourleth ( Guéméné sur scorff )
sont les plus réputés.
Quelques images pieuses, une statut de la sainte vierge, voire un petit autel,
viennent rappeler l’influence de la religion dans les fermes et hameaux de Bretagne.

Parées de leurs belles capelines ( coiffe particulière de l’île de Bréhat ),
ces Bréhatines étalent les galettes de bouses sur un muret en pierre.

Comme sur toutes les côtes de l’atlantique, la bouse est un combustible naturel,
le bois n’étant pas suffisant il a bien fallu trouver des solutions pour se chauffer.

Préparation des galettes de bouses.

Le bois n’étant pas suffisant dans la plupart des îles bretonnes,
à Groix comme à Bréhat, on découvre d’étonnantes cartes postales
dévoilant des femmes occupées à préparer des galettes de bouses de vache,
avant de les mettre à sécher contre les murs de la maison.
Ce combustible se consumait lentement en dégageant une odeur forte que les étrangers supportaient mal…

A Saint-Joachim, au coeur des marais de Brière, l’extraction de la tourbe fut une activité importante.
Elle donnait lieu à une série d’opérations effectuées, avec minutie, par les Briérons.

Saint-Joachim, extraction de la tourbe.

Incontestablement, ces hommes et ces femmes de Brière posent pour la photographie :
tout les regards sont tournés vers cet appareil magique, qui restitue votre image,
figée pour l’éternité.
Cette photographie est particulièrement intéressante pour son décor
et les outils de travail que l’on peut apercevoir.
Elle met en scène une activité pratiquée dans le marais briéron, depuis le XIIIe siècle.
Cette activité fut très importante et constitua une source de revenus non négligeable pour les Briérons,
jusqu’à la la fin du XIXe sciècle.
L’arrivée du charbon (meilleur combustible que la tourbe)
précipitera le déclin de ce moyen de chauffage ancien.

Le Lavoir

Avant que le lave linge et le pressing n’existe,
le lavoir était un lieu pour le moins conviviale,
les potins et les cancans était bien sur source de discussion
et les dernières nouvelles y étaient échangées.

Les écrivains

Ces messieurs les écrivains parisiens viennent recueillir
les comtes de Bretagne dans un intérieur breton,
hélas ! reconstitué en studio devant un décor maintes fois utilisé.

Le repas

Avec une bonne bolée de soupe,
rien de tel pour se donner du cœur à l’ouvrage

Lignol, capitale du foie gras de canard

Discrets mais économiquement intéressants, les canards gras élevés en Bretagne et abattus à Lignol, près de Guéméné-sur-Scorff. L’abattoir RBI nourrit nos assiettes de foie gras festiv, faisant vivre aussi quelque 80 salariés.

Le village de Lignol
Petite commune rurale de 853 habitants, Lignol pourrait faire pâlir l’andouille de Guéméné voisine si son foie gras de canard était mieux connu. Mais l’histoire et les traditions gastronomiques ont freiné, jusqu’ici, la célébrité de ce mets festif, vendu essentiellement entre Noël et le jour de l’An (80% des ventes en France à cette période !).

 » Le foie gras de canard, nous connaissons un peu …  » avoue timidement Jean Paul Morvan, directeur de l’abattoir RBI de Lignol. RBI, comme « Rougié Bizac International » nom de ce groupe français original spécialisé dans la foie gras de canard et d’oie. Mais pourquoi Lignol ? Par rachat, en 1992, tout simplement, d’un petit abattoir de canards qui fournissait déjà le site de transformation Rougié, à Sarlat ( Périgord ).

Avec ses éleveurs bretons agrées et à sa capacité d’abattage de 5 000 têtes par jour, RBI – Lignol est l’un des maillons dynamiques de ce groupe international au capital de 10 M€, leader national à l’export ( 35% des ventes en cru et transformé ) et dans le peloton de tête au plan national. Outre ce foie gras 100% d’origine France, le groupe produit des magrets du même animal, des confits …..

L’abattoir de Lignol ( 52 salariés permanents, 16 saisonniers et une dizaine de sous traitants ) est alimenté par une cinquantaine d’éleveurs bretons chargés du  » pré-gavage  » des canards ( pendant 12 semaines ) et autant d’éleveurs  » gaveur  » ( pour les 12 derniers jours de l’animal ).

Cuisiné dans le Périgord et vendu sous les marques Rougié ( export et gastronomie française ), Bizac ( grandes et moyennes surfaces ) ou Toque Blanche ( vente en cash & carry ), le foie gras de Lignol a été découvert lundi soir par une centaine de chefs d’entreprises morbihannais. Des visiteurs invités à une dégustation ( de saison ) par la délégation pontivyenne de la Chambre de commerce et d’industrie du Morbihan.

Article paru dans Ouest France.